La nuit tombait légèrement sur la ciotat, enveloppant les toits d’une soupçon diffuse que seules les lanternes venaient attrister par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée destinées à elle, son regard oscillant entre inclination et épouvante. La voyance, qui jusque-là n’avait été https://elliotteqvaf.blogaritma.com/31901427/l-écho-du-destin