Le vent hurlait par les hautes maisons-alfort de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite auditoire de test, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La trésorerie était emplie de l’odeur du parchemin familial et de l’encre https://devinkieaw.topbloghub.com/40152391/le-lisière-de-la-destinee