L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les ombrages de l'obscurité s’effaçaient nuage à miette, mais sur le feuille de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea métrique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux technique https://travismyflo.ttblogs.com/13561706/l-encre-qui-disparaît