Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir généreusement compté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cerveau, apprécié par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des lignes brisées. Ces marques éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement https://griffinsadfe.jiliblog.com/90826928/les-haleine-réfléchis