La pognon semblait désormais respirer seule. Le fin des murs, patiné par les cycles, conservait une tiédeur étrange, à savoir s’il absorbait l’écho des présences données. Les jeux de cartes oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décoder. Chaque quantième, elle observait de nouvelles compositions se construire : un https://lauriana-voyance01009.blogmazing.com/33349418/les-oscillations-invisibles