Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre circulaire au centre de son ateliers. Elle y jetait les citations de cuivre en silence, laissant les desiderata danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un automatisme. C’était une respiration lente, une accoutumance apparue d’un acte familial répété sans cesse. https://voyancegratuiteenligneimm51468.timeblog.net/70001502/la-matière-qui-répond